Du stock à raconter!

Ok, on l'admet, on est pas vite sur le piton pour raconter nos pérégrinations en cet univers asiatique de la Malaisie.

Écoutez; on a à peine le temps de prendre notre souffle entre les diverses démarches pour l'école, la maison, le travail etc...

On s'acclimate à la conduite à gauche, aux routes dont on ne comprenait strictement rien aux panneaux de signalisations, aux façons de faire ici, à l'anglais hésitant des gens qui quelque fois fait en sorte qu'on fait répéter... Bref, on dépense de l'énergie sur des items qui à la maison du Canada on aurait pris 2-3 secondes à régler!

Le soir, on est donc...Pouf! Fini, manqué, Kaput!!!!!!!!!!!!!!

Mais on s'en tire.

On est maintenant plus à l'aise ici. Nous avons notre voiture de location pour l'instant que Anne et moi conduisons.

Après avoir apssé quelques jours à vivre au travers des boîtes, dont la preuve vous est préssentée ici nous allons reprendre le fil des évènements .

On a eu notre rencontre avec les amis/famille dont une photo de groupe est jointe ici. On était tous bien content de vous voir tous réunit autrement que pour des funérailles!

On est donc parti le mardi soir le 22 avril 2008 vers Kuala Lumpur pour finalement arriver le 24 avril au matin à 6h00 am.

Ce fut suivi d'un 2 semaines à l'Hotel Prince où les filles et Anne se seront "reposées" pendant que "MOI" je travaillais!!!!!!!! Équitable la vie vous dites?

Quelques petites activités et découvertes mais sans conteste, la séance de réflexologie par les poissons aura été déroutante. Daphnée la première à surpasser ses craintes, suivie de Frédo, de Sandrine, Patrice et ....... Et....... Et....... Ah oui, Anne qui aura tenté plusieurs fois mais sans gros gros succès. C'est simple, le massage est fait par des petites poissons qui picossent nos jambes et nous libèrent des squames de peau. C'est comme un massage mais vivant!

Bref, ces deux semaines à attendre que notre maison soit finie d'être aménagée tel que promis par le propriétaire.

Le 11 mai on est rentré dans cette maison même sil elle n'était pas tout à fait finit.

Un mois après la date ou tout devait être complété (1er mai 2008), il manque encore pas mal de gogosse. Toutefois, juste à temps pour le début des classes des 3 filles au Lycée Français de Kuala Lumpur (KL à l'avenir).

En tout cas juste à temps pour que Sandrine perde sa prmière dent le jour de la fête des mères tel qu'elle l'avait promis pour ensuite en perdre une autre à la fête de Anne le 15 mai!

Les filles vous le diront, c'est pas pareil mais au-moins, à travers le monde, c'est la même chose d'un Lycée à l'autre que l'on soit à Paris, à KL ou à Brisbane! Faut quand même bien que nos amis les Français fassent qqe chose de bien quoi!

Le bus vient les prendre à 7h15, à la porte comme on dit. Faut qu'elle dine à la cantine, obligatoire! Cela a beau être français, dans la cour d'école, c'est surtout de l'anglais, surprenant.

On aura tout de même fait une excursion dans une petit village chinois au nord-ouest de KL. Ce village s'appelle Kuala Selangor ou un paysage de lucioles peut être vu chaque soir. Imaginez un arbre de Noel de 30 mètres de haut qui clignote de lucioles. C'était beau et calme car le bateau dans lequel on prenait place avait un moteur électrique! Oui, ça existe! à bas les moteurs à essence deux temps! À bas, à bas!.....Oups, je m'égare du sujet!

Mais avant, la visite des vestiges d'un fort Malais nous aura fait rencontrer des petits singes ma foi, très ou trop brillant. On les nourrit de fèves vertes mais non content d'être nourrit une à la fois, il nous chapardait le sac de fèves directement dans les poches des filles. Même une personne avertie se ferait prendre!

Donc, depuis deux semaines que l'école est commencée, les filles se sont déjà acoquinées avec certaines filles de leur groupe. Les fêtes d'amies sont commencées (misère!). Frédo et Daph la dernière fin de semaine et Sandrine dans 10 jours environ.

Et aujourd'hui (lundi 26 mai), c'était le test ou évaluation du niveau d'anglais des filles à l'école anglaise. On verra où cela va nous mener car il n'y a toujours pas de place. À suivre.